Maître Irina Mikhaïlovna Sidorova a fondé son cabinet d’avocat à Paris en 2001.
Au début de l’année 2024, un bureau secondaire a été ouvert dans le centre de Nice.
Notre expérience longue et variée dans le domaine du droit français et international mise au service des clients russophones est sans aucun doute la principale composante de nos services.
A ce titre, forts de notre expérience, et lorsqu’il s’agit des cas les plus simples, nous examinons rapidement l’affaire et évaluons aussitôt les chances de succès des actions envisagées pour atteindre le but recherché.
C’est encore en nous appuyant sur notre expérience qu’il nous arrive de refuser des dossiers dont la poursuite nous semble vouée à l’échec ou lorsque le volume du travail à réaliser risque d’entraîner des coûts et des efforts disproportionnés par rapport aux buts poursuivis par le client.
Enfin, s’agissant des situations juridiques complexes, notre expérience nous permet d’anticiper des risques et des obstacles juridiques, et en conséquence, d’envisager des voies de secours éventuelles dès la prise en charge du dossier.
Nous combinons le conseil juridique avec les activités contentieuses, s’agissant des domaines dans lesquels nous possédons une longue expérience.
La nature transfrontalière des affaires que nos clients nous confient est souvent alourdie par le caractère multidimensionnel des tâches à résoudre, ce qui requiert une expertise dans divers domaines du droit (droit privé, droit des affaires, du droit administratif) de différents États.
De plus, la plupart des affaires que nous traitons exigent, outre des connaissances juridiques et une expérience, une approche non conventionnelle, ainsi que de la persistance, de la persévérance et de la patience. Le travail que nous fournissons répond à ces exigences.
Nous sommes fiers de pouvoir annoncer que les affaires qui nous sont confiées résistent à l’épreuve du temps et qu’elles sont menées par nous jusqu’à une conclusion victorieuse ou jusqu’au résultat le plus efficace pour le client.
Malgré de récentes évolutions, compte tenu de son ancienneté le droit français n’a pas pour l’essentiel vocation à s’appliquer aux situations à dimension internationale. Notamment, la législation et la pratique tiennent rarement compte des particularités des pays d’origine des ressortissants étrangers. Ceci est particulièrement vrai s’agissant des ressortissants des pays extra-communautaires, par exemple, en matière d’actes d’état civil.
La spécificité de notre travail consiste notamment à prendre en compte des particularités du système juridique du pays dont le client est résident ou originaire et à les adapter au contexte juridique français.
Nous pouvons ainsi affirmer que notre travail contribue à créer un pont entre les systèmes juridiques de différents pays, par lequel passe ensuite le flux d’informations juridiques.
Lorsque les circonstances de l’affaire l’exigent, nous travaillons en étroite collaboration avec des avocats des autres pays avec lesquels nous avons de nombreuses années d’expérience commune.
La profession d’avocat en France est régie par la loi du 31 décembre 1971 régissant la profession d’avocat et par le règlement intérieur national de la profession d’avocat.
Le cabinet « Irina Sidorova » s’attache à respecter les normes professionnelles et déontologiques de la profession d’avocat en France et en particulier les règles relatives au respect du secret professionnel.
A cet égard, en droit français la correspondance, les conversations téléphoniques, l’objet des réunions, les informations échangées entre un client et son avocat, etc. sont strictement confidentiels et l’avocat est tenu de garder secrètes les informations qui lui sont confiées. L’avocat ne peut être déchargé de cette obligation ni avec l’accord du client, ni à la demande de celui-ci.
Le secret professionnel existant de plein droit, il n’est pas nécessaire qu’un client potentiel ou son mandataire signe un accord de confidentialité avant de confier des informations à un avocat.
Afin de respecter pleinement le secret d’avocat, nous ne faisons nulle part référence à des affaires que nous avons traitées ou que nous traitons, ni ne citons les noms de nos clients, qu’il s’agisse de particuliers ou d’entreprises. A moins que ces informations ne soient devenues publiques en raison de circonstances extérieures (par exemple à la suite d’un litige rendu public), nos clients peuvent s’attendre à une totale confidentialité de notre relation avec eux et à celle des informations qui nous sont confiées.